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Système
Overclocking graveur
Overclocking CPU
Réglages BIOS

Bidouiller son PC pour obtenir de meilleures performances est un réel plaisir mais peu devenir un véritable sport. Les manipulations décrites dans cette rubrique sont parfois (légèrement) délicates, aussi faut-il agir en connaissance de cause. Mais en fin de compte, vous obtiendrez une machine plus rapide pour pas un rond. Alors à vos claviers et vos tournevis !

NB : après tous vos réglages, vous pourrez frimer devant vos potes en leur montrant votre "nouvelle" machine qui mouline plus vite que la leur. Hé hé hé...

Je décline toutes responsabilités suite à d'éventuels problèmes résultant d'une mauvaise manipulation.
Alors faites attention
!!!!
Avant de continuer, un peu de FUN !!!!!

 

 

Système

Avoir un système bien optimisé sous Windows n'est pas chose facile. Il n'y a pas une opération miracle à faire pour que votre machine se montre soudainement plus véloce mais une pléthore de manips doivent être effectuées. En fin de compte, le gain de performance est appréciable. Cette rubrique n'est donc pas un mode d'emploi mais un guide.
Une fois son PC optimisé, la chose la plus délicate est de le conserver dans cet état ! En effet, après installations et désinstallations massives, la bécane montre des signes de fatigue. Il faut alors faire preuve de douceur et lui témoigner notre affection en éliminant les causes du mal...

Libérer la mémoire

De nombreux programmes encombrent la mémoire de Windows. Le système est alors plus lourd et la mémoire libre plus petite. Vérifiez tout d'abord si les programmes présent dans la barre des tâches sont réellement utile. Dans le cas contraire, supprimez les du menu Démarrage. Mais ces programmes ne sont pas les seuls à grignoter des ressources mémoires.
Les applications lancées en tâche de fond ne sont pas toujours visibles dans la barre des tâches. Le seul moyen de les voir est de faire Ctrl+Alt+Del. Une fenêtre contenant tout les programmes actifs s'ouvre alors. On peut les supprimer un à un mais les noms de ces dits programmes ne sont pas forcément parlant. Sous Windows 98, vous pouvez recourir à l'utilitaire Information Système. Cliquez sur Utilitaire de configuration système puis choisissez le menu Outils. Dans l'onglet Démarrage, vous avez toutes les applications qui se lancent automatiquement au cours du chargement de Windows. Il vous suffit alors de décocher ceux que vous ne voulez plus utiliser. Le prochain démarrage du système se fera sans ces applications inutiles. Veillez tout de même à ne pas supprimer un élément important !
Afin de contrôler la quantité de mémoire que vous avez libérée, vous pouvez utiliser le Moniteur Système. La mémoire physique non utilisée est alors le chiffre qui nous intérrese.

Bien souvent, lorsque que l'on quitte un programme, celui-ci laisse des données en mémoire. On peut alors se retrouver avec une mémoire saturée alors qu'aucune application n'est lancée ! Le meilleur remède est alors de rebooter la machine... Mais bon, on en a ras le bol de rebooter sans arrêt... Heureusement pour nos nerfs, il existe des programmes comme MemTurbo qui permettent de libérer cette mémoire.

La mémoire virtuelle

La mémoire virtuelle est en fait un fichier d'échange. On parle aussi de fichier de swap. Si la mémoire physique vient a manquer, Windows utilise alors le disque dur. Le problème est que ces accès disque sont infiniment plus lent que les accès mémoire. On accède à la configuration de se fichier d'échange en cliquant sur l'icône Système du Panneau de configuration. Cliquez alors sur Mémoire virtuelle dans l'onglet Performances. Deux solutions s'offrent à nous : soit on laisse à Windows le soin de gérer les paramètres de la mémoire virtuelle ou alors on le fait nous même. Et comme on à peur de rien, on le fait nous même !

Il faut alors spécifier un minimum et un maximum pour la taille du fichier de swap. Ce choix est tout de même problématique et il existe de nombreux avis à ce sujet. Tout d'abord, il vaux mieux fixer la même valeur pour le minimum et le maximum. Mais le choix de cette valeur est assez délicat. En réalité, il n'existe pas de règles précises et la formule magique n'existe pas. Certains choisissent une taille égale à la quantité de mémoire multipliée par 2 ou 2,5. Ce choix est correct pour une quantité de l'ordre de 64 ou 96 Mo. Au delà, cela engendre un fichier de swap trop important. Votre choix doit se jouer sur le type d'applications que vous utilisez. La plupart des jeux n'aiment pas trop la mémoire virtuelle (sauf certains comme Quake2 et Unreal) alors que Photoshop, par exemple, en est friand. Le mieux est alors de tester vos applications favorites avec différents réglages. Oui, c'est long et fastidieux ! Mais bon, faut ce qu'il faut...


Et mon fichier d'échange, je le met où ?

Si vous possédez plusieurs disques, déplacer le fichier d'échange sur le plus rapide est loin d'être une idée stupide. Le système n'en sera que plus rapide. Dans le cas d'un seul disque, vous n'avez pas vraiment le choix...
Mais quelque soit votre cas, vous pouvez toujours créer une partition spécifique au fichier d'échange, un peu comme sous Linux. Ainsi, sa défragmentation sera beaucoup plus rapide. Et puis ça fait un PC plus propre, non ?

Pour plus de détails sur l'optimisation de la mémoire virtuelle, allez là.

Autres réglages dans le Panneau de configuration

Cliquez sur l'icône Système puis choisissez l'onglet Performances.

Système de fichiers : Si vous avez dans les 64 Mo ou plus, vous pouvez spécifier une utilisation comme serveur réseau dans le premier onglet. Positionnez également l'optimisation cache en lecture sur complète.
Dans l'onglet Disquette, décocher l'option Rechercher les nouveaux lecteurs à chaque demarrage de l'ordinateur. Cela permet de gagner du temps lors du lancement.
Dans l'onglet CD-ROM, vérifiez que la Taille du cache supplémentaire soit posisionnée sur Grande. De même, l'optimisation des accès doit se faire pour un CD-ROM quadruple vitesse ou plus.
Graphique : L'Accélération matérielle doit être sur Complète.
Trucs en vrac

Lors du démarrage, Windows attend pendant quelques secondes que vous tapiez sur une touche pour accéder à un menu. Pour éviter cette insupportable attente, éditez le fichier caché Msdos.sys se trouvant à la racine et ajoutez la ligne BootDelay=0 dans la partie [Options].

Si vous avez une carte réseau, vous pouvez automatiser l'entrée de votre nom et mot de passe. Pour cela, utilisez Tweak UI (fourni sur le CD de Windows). Dans l'onglet Network, cochez Log on automatically at system startup et indiquez votre nom et votre password. Par contre, si votre carte réseau n'est utilisée qu'occasionnellement (pour un petit baston à Quake ?), vous pouvez la désinstaller. Ainsi, vous gagnerez du temps lors du démarrage de Windows.

Pour ajuster le cache virtuel de Windows, vous pouvez avoir recours à Cacheman. Ce programme permet d'allouer lui même la mémoire vive pour le cache. Vraiment pratique.

Un petit détail hardware qui a son importance : mieux vaut placer les disques durs et le CD-ROM sur deux nappes différentes afin d'accélérer les échanges de données. C'est pas grand chose à faire, non ?

Vidange et entretien

Bon, voilà votre PC qui mouline bien comme il faut...mais pas pour longtemps ! Alors n'oubliez pas les petits conseils suivants, au cas ou vous ne seriez pas au courant :

Bien défragmenter son (ou ses) disque(s). Defrag fait assez bien ce travail mais si vous pouvez utiliser des logiciels comme SpeedDisk des Norton Utilities, faites-le !
Faites le ménage régulièrement : virez les DLLs inutilisé et supprimez les clés invalides de la base de registres. Le plus simple est d'avoir recours à des logiciels comme Cleansweep. Mais le travail sera plus efficace si vous le faites "à la main" avec Regedit.
Mettez vos pilotes à jours ! Allez chercher ces drivers sur les sites des constructeurs de vos périphériques. Votre carte graphique vous remerciera
.

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Overclocking CPU

Overclocking... quel nom barbare... Overclocker son processeur consiste a le faire fonctionner à une fréquence plus importante que celle définie en usine. La conséquence directe est une amélioration de sa vitesse, et cela pour pas un rond (ou presque).

Un peu de théorie...

Pour augmenter la fréquence d'un processeur, il faut jouer sur deux paramètres : l'augmentation du coefficient multiplicateur et/ou l'augmentation de la fréquence du bus. Les différentes valeurs du bus sont nombreuses (55 60 66 75 83 90 100 103 112 124 133 150 153) selon les cartes mère. Mais vous n'avez que peu de chance de réusir un overclocking avec un bus à 153 Mhz !

Par exemple, un Celeron à 366 Mhz aurra un bus à 66 Mhz et un coefficient multiplicateur de 5.5 (si vous avez bien suivi, vous vous dites que 66 * 5.5 est égal à 363 et non 366 ! En réalité, le bus n'est pas à 66 mais à 66 + 2/3, soit 66.66 et des broutilles). Si l'on passe le bus à 100 Mhz, on obtient 100*5.5 = 550 Mhz. Simple, non ?

Malheureusement, le coefficient multiplicateur est modifiable uniquement sur les vieux CPU. Aujourd'hui, on peut overclocker uniquement en modifiant la vitesse du bus. Cela vous permettra non seulement d'augmenter les performances du processeur mais aussi de la mémoire (RAM et cache), du BUS PCI et de ses périphériques ! En effet, il est bon de savoir que les cartes PCI fonctionnent à 1/2 de la vitesse du bus (voir 1/3 ou 1/4), 1/4 pour nos vielles cartes ISA. Quand aux cartes AGP, elle fonctionnent à la même vitesse que le bus (voir 2/3).


Marche à suivre (sans la louper)

Maintenant, passons à la pratique ! La modification du coefficient multiplicateur (si le processeur le permet) et de la fréquence du bus peuvent s'éffectuer de deux manières :

vous devez modifier des jumpers sur votre carte mère. Dans ce cas, munissez vous de la documentation de celle-ci et d'un tournevis !
votre carte mère est jumperless, les modifications s'effectuent au niveau du BIOS. Là aussi, la documentation sera nécessaire.

Heu... c'est risqué ?

L'overclocking d'un CPU peut diminuer sa durée de vie. Les périphériques peuvent également mal supporter le changement de vitesse du bus. Certains disques par exemple, supportent mal les bus à 75 ou 83 Mhz. Mais le risque de "griller" un composant est minime.


Mon PC plante !

Vous redémarrer fébrillement votre PC et celui ne démarre pas ? Votre Windows gèle avant que son chargement soit terminé ? Vous êtes submergé par des écrans bleus ? Alors votre CPU ne supporte pas un tel overckocking. Mais rien est perdu ! Vous pouvez (et c'est même très fortement conseillé) bien refroidir votre CPU et affiner certain réglages pour obtenir un PC parfaitement stable.

Petits trucs pour grande stabilitée

Avoir la RAM qui convient : il faut que les barrettes de memoire supportent la vitesse du bus. Les vielles barrettes de RAM sont à 66 Mhz et ne supportent pas toujours un bus à 100. Aujourd'hui, le standard est 100 (on parle de RAM certifié 100 Mhz) voir 133.
Changer la tension du CPU : pour augmenter la stabilitée du processeur, il peut s'avérer nécessaire d'augmenter légèrement la tension (ou voltage). Cette modification se fait dans le BIOS. Attention, plus la tension sera grande, plus la chaleur dégagée par le CPU sera importante. Et plus le CPU chauffe, moins il est stable. D'où le dosage délicat. En général, il est conseillé de ne pas dépasser une augmentation de 0.3 volt.
Augmenter la latence du cache de niveau 2 (L2 cache CAS latency) : afin de vérifier si votre overclocking est instable à cause du cache de niveau 2, vous pouvez le désactiver (mais forte baisse de performances !). Si le PC est à nouveau stable, vous avez trouvé la source du problème ! Dans ce cas, vous pouvez tenter d'augmenter par palier la latence jusqu'à l'obtention d'une machine stable. Là aussi, cette modification se fait dans le BIOS.
Diminuer le PIO des disques (PIO Mode) : le changement de fréquence peut-être mal supporté par votre disque dur IDE. Celui-ci ne suit pas la cadence et laisse appraître des erreurs de lecture et/ou d'écriture. Vous pouvez dans le BIOS baisser le Pio Mode. Il est réglé généralement sur Auto, essayez les valeurs 4 ou 3. Attention, la baisse de cette valeur entraine une légère baisse de perf des diques.
Diminuer la vitesse de la mémoire (DRAM Speed, Write/Read Burst) : la memoire, elle non plus, ne supporte pas le changement de fréquence. Augmentez la vitesse de la valeur DRAM Speed (en nano seconde) et changer la valeur de Write/Read Burst (de x2222 à x3333).
Pensez à bien refroidir votre PC : l'idéal est d'avoir une grande tour bien ventillée avec un vertilateur en bas à l'avant qui aspire l'air à l'exterieur du boitier et un secnd à l'arrière en hauteur qui recrache l'air chaud.
Optimiser le contact entre le CPU et le dissipateur de chaleur : le contact entre le processeur et le radiateur (partie métallique sur lequel est fixé le ventilateur) doit être le plus parfait possible. Pour cela, on doit utiliser de la pâte ou de la graisse thermique (comparatif entre les deux ici). Il faut en appliquer une fine couche entre le CPU et le radiateur afin de permettre un meilleur échange thermique.
Dans le cas d'un processeur inbox (comme de nombreux pentium 2), il faut délicatement enlever la coque platique qui renferme le processeur. La chaleur sera ainsi mieux dissipée.
Dans un overclocking extrème, on peut même aller jusqu'à poncer la surface du CPU ! Pour cela, il suffit de poncer le dessus du processeur (mais pas beacoup, hein !) et le dessous du radiateur en utilisant du papier de verre très très fin. On a ainsi diminué les aspéritées sur les deux surfaces à mettre en contact.

Enfin, il est souvent nécessaire de bien refroidir son CPU : le ventilateur fixé d'origine sur votre CPU n'est plus suffisant. Il faut alors envisager un autre système de refroidissement.

Ne pas avoir froid aux yeux

Un processeur overclocké dégage plus de chaleur. Plus la chaleur augmente, plus les risques d'instabilité ou de plantage sont grands. C'est pourquoi il est nécessaire de le refroidir. Il existe plusieurs méthodes :

ajouter un radiateur surmonté d'un ventilateur. C'est la solution classique. La plupart des PC en sont équipé. On peut alors changer le radiateur pour un modèle plus grand et remplacer le ventilateur par un modèle plus gros et plus puissant (voir même avec plusieurs ventilateurs).
Pour les processeurs montés sur Slot One, on peut aussi ajouter un ventilateur à l'arrière du CPU. On parle alors de processeur "sandwich".
les plaques à effet peltier : ce système est assez couteux et délicat à mettre en place mais c'est sans doute le meilleur moyen de refroissement. Il consiste à placer une plaque peltier sur le CPU. Ce système auto alimenté va créer, par une difference de potentiel, du froid d'un coté et du chaud de l'autre. Le coté froid doit être en contact avec le processeur. Le coté chaud, quand à lui, doit-être surmonté d'un ventillateur qui aurra pour rôle de dissiper la forte chaleur provoqué par le système de refroidissement.
Attention : des risques de corrosion et d'apparition de givre autour du processeur peuvent survenir !
refroidissement liquide : là aussi, les différents systèmes présentent une mise en oeuvre délicate. On peut créer un circuit de refroissemement avec de l'eau (watercooling), du fréon ou de l'azote liquide (houlà !).
refroissement par logiciels : c'est le plus simple des moyens de refroidissement. Il existe des petits programmes qui permettent de mettre en veille les instructions inutilisées du CPU. Si un tel système est très performant lors d'une utilisation classique de son PC (word, internet...), cela s'avère insufisant pour des applications goumandes en CPU comme les jeux 3D.
On peut citer des softs comme Rain ou CpuIdle (que vous pouvez trouver ici)

Le rodage

Après avoir rodé le moteur de son cyclo, c'est au tour de son CPU ! Mais qu'est-ce que le rodage me direz-vous ? Le rodage d'un processeur est le fait de le faire fonctionner à son maximum avec la tension la plus haute possible. On parle aussi d'électromigration (ou de fuite des électrons). Je m'explique. On constate qu'un processeur qui fonctionne depuis longtemps est plus facilement overclockable qu'un processeur neuf. On va alors faire "veillir" son CPU plus rapidement afin qu'il supporte une vitesse de bus plus élevée et/ou une tension moins importante.

Pour cela, il faut procéder par paliers. Vous devez tout d'abord choisir une fréquence de bus la plus élevée possible tout en conservant un CPU stable ainsi qu'une température correcte (60°C max).

Après, vous devez faire tourner un programme très très gourmant en CPU (quake en version software par exemple). Si le CPU est toujours stable, vous pouvez alors passer à l'étape suivante.

Ensuite, il faut augmenter la tension du CPU (sans dépasser +0.3 volt). Là encore, il faut procéder par paliers. Si vous obtenez un PC qui reste stable avec une température toujours correcte, il vous suffit de le laisser tourner (toujours avec un soft gourmand en calcul) pendant plusieurs jours.

Après un tel traitement, la probabilité que votre CPU supporte une fréquence plus élevée sera plus importante !

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Overclocking graveur

Overclocker son graveur ? En voilà une idée qu'elle est bien ! Votre vieux graveur en X2 fonctionne très bien et vous ne voulez pas à nouveau investir pour un plus rapide ? Oui mais 37 minutes pour graver une galette, ça fait un peu long, non ? Alors retroussons nos manches et allons-y !

Pour quels modèles ?

Cette bidouille s'adresse aux possesseurs de graveurs Yamaha 200t fabriqués à partir de Juillet 1997. Un petit autocollant indique cette date sur le dessus du graveur. Après modification, il sera reconnu comme un graveur Yamaha 400t. Si vous possédez un Yamaha 2260t, la manipulation est similaire, même si elle est un peu plus délicate. Dans ce cas, le graveur sera alors reconnu comme un Yamaha 4260. Cette même manip devrait (je dit bien devrait) aussi fonctionner sur le Traxdata 2260. Mais je n'ai pas pu tester... Alors attention !

Comment est-ce possible ?

Apparemment, par soucis d'économie de production, certains graveurs proviennent de la même chaîne de montage. La différence se fait alors sur quelques composants en fin de montage. D'ailleurs, le yamaha 200t et 400t ont un firmware (équivalant au BIOS pour une carte mère) commun. Alors pourquoi ne pas en profiter ?

Avant de commencer !

Avant de vous jeter comme un fou sur votre graveur, le tournevis à la main, lisez attentivement ce qui suit !

Si votre graveur est encore sous garantie, le fait de le démonter annule celle-ci !
Overclocker un graveur peut éventuellement réduire sa durée de vie.
Une bonne ventilation du graveur peut être nécessaire si celui-ci venait à trop chauffer.
La gravure en X4 peut poser des problèmes avec certains CDR démarqués.
La lecture des CDR gravés en X4 peut poser des problèmes de lecture avec certains lecteurs.
La réussite de la manipulation n'est pas garantie à 100% ! Je décline toute responsabilité quand à une éventuelle dégradation de votre matériel !
Si vous ne vous sentez pas de faire cette manipulation, faites machine arrière avant qu'il ne soit trop tard !
Même si la modification du graveur n'est pas extrêmement délicate, faites-la avec soins. Déposez le graveur sur une table et mettez-vous à l'aise...
Bon, vous êtes toujours là ? Alors let's go !

Allez, on commence !

Yamaha 200t :

Placez le graveur devant vous et dévissez la plaque métallique du dessous. Attention ! Les vis sont très serrés, veillez à ne pas les abîmer ! Vous apercevez maintenant le circuit imprimé. La lettre C doit être visible comme le montre la photo ci-dessous. Si vous ne voyez pas cette lettre, arrêtez tout, remontez le graveur et replacez-le dans la tour...

yam_lettre

Vous devez maintenant repérer la résistance R621. Aidez-vous des schémas suivants :

yam_cm200

r621_dessusFace 621

L'opération la plus délicate arrive ici : il s'agit d'enlever cette résistance. Pour cela, vous devez utiliser un fer à souder avec une panne très fine. Il ne faut surtout pas toucher aux soudures voisines ! Vous devez être très minutieux !

Ouf, voilà, c'est fait, la résistance R621 est déssoudée. Il ne vous reste plus qu'a remonter le graveur et à le replacer dans le PC. Lors du boot, votre carte SCSI reconnaîtra le graveur comme un Yamaha 400t !

Maintenant, il se peut que vous deviez changer la version du firmware. Personnellement, cela n'a pas été nécessaire mais certaines versions de firmware indiquent que le graveur possède 2Mb de mémoire cache. Pourtant, le 200t est équipé uniquement de 1Mb. Une version plus récente du firmware corrige ce problème. Voici la version 400q. Vous pouvez aussi aller la télécharger sur http://www.yamahayst.com/.

Yamaha 2260t (non testé !) :

La manipulation reste similaire à la modification du 200t et peut éventuellement fonctionner sur le Traxdata 2260 (à vos risques et périls !).

Placez le graveur devant vous et démontez la plaque métallique du dessous. Attention ! Les vis sont très serrés, veillez à ne pas les abîmer ! Vous apercevez maintenant le circuit imprimé. La lettre B ou C doit être visible. Si vous ne voyez pas une de ces lettres, arrêtez tout, remontez le graveur et replacez-le dans la tour...

L'embêtant, c'est que la résistance à supprimer n'est pas de ce coté du circuit imprimé, il faut alors le retourner. Pour cela, vous devez d'abord libérer l'ouverture du graveur. Utilisez une aiguille dans le trou situé sous la porte et ouvrez-la. Maintenant, retirez délicatement la face avant du graveur. Bien, dévissez la vis au centre du circuit imprimé et retirez les deux connecteurs (doucement, hein ? Un des deux connecteurs possède deux petit clips qui faut presser doucement avant de le retirer. Faites bien attention à ne pas arracher les soudures !).

Vous pouvez maintenant soulevez le circuit imprimé mais deux nouveaux connecteurs situés au dessous vous empêchent de le soulever complètement. Retirez alors le plus gros connecteur (en utilisant les clips). Pour éviter de retirer le connecteur plus petit situé vers l'avant, retournez le circuit en le faisant pivoter tout en veillant à ne pas tirer sur ce petit connecteur. Celui-ci semble fragile, c'est pourquoi il vaut mieux le laisser enfiché.

Maintenant, vous devez repérer la résistance Q/D. Aidez-vous du schéma suivant :

Avec les mêmes précautions que celles de la modification du 200t, vous devez déssouder cette résistance.

Voilà, remontez soigneusement votre graveur et replacez-le dans le PC. Lors du boot, votre carte SCSI le reconnaîtra comme un Yamaha 4260 !

La encore, le changement du firmware peut s'avérer nécessaire. Il faut alors installer celui du Yamaha 4260. Voici la version 4260q. Vous pouvez aussi aller la télécharger sur http://www.yamahayst.com/.

Bonne bidouille et bon gravage !


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THE BIOS
Tout savoir sur ce mystérieux petit bonhomme…

C'est qui THE BIOS ? Ton patron ?

Ok, elle est carrément pas drôle … Bon alors, c'est quoi le BIOS ? Le Basic Input Output Système est une petite mémoire située sur la carte-mère, dont les données définissent les paramètres du système. Certaines données sont inscrites dans une mémoire morte (Read Only Memory) il n'est donc pas possible de les modifier, par contre certains paramètres sont accessibles depuis le setup du BIOS, que l'on active dès le démarrage en appuyant généralement sur la touche F1 ou SUPPR (il se peut qu'il s'agisse d'une autre touche, auquel cas au démarrage vous verrez un message du genre "HIT 'DEL' TO ENTER SETUP" qui signifie littéralement "Appuyez sur la touche 'DEL' pour entrer dans le SETUP"). TO SETUP est un mot anglais qui signifie CONFIGURER, le setup du bios est donc en quelque sorte un "Panneau de configuration du BIOS".

Le setup du BIOS se présente généralement sous forme de menus que l'on sélectionne grâce au clavier (mis à part de rares BIOS qui exploitent la souris, comme le BIOS WIN d'AMI par exemple, présentant les sections sous forme de fenêtres). Les paramètres sont classés dans ces sections sous forme d'options pour lesquelles on a généralement un nombre de choix limité. Cependant, vu le nombre d'options présentes, l'ensemble des configurations possibles en faisant varier tous les paramètres du BIOS est immense. De plus, ces options sont systématiquement en anglais ce qui empêche les anglophobes d'optimiser leur machine à moins d'avoir un guide ;).

Il n'existe pas un seul type de BIOS. Plusieurs constructeurs existent, mais les principaux BIOS sont actuellement :

AMI BIOS (de American Megatrends)
Award BIOS ou BIOS Award
D'autre part chacun de ces constructeurs fournit plusieurs versions de BIOS, si bien qu'on estime qu'il existe plus de 1800 versions de BIOS différentes...
C'est pour cela que nous étudierons uniquement les BIOS AWARD et les BIOS AMI.


Hé Pourquoi que j'dois l'optimiser mon BIOS ?

Tout simplement parce que lorsque vous achetez un ordinateur, l'entreprise qui l'a monté ne configure pas le BIOS en fonction de votre machine (ça prend du temps, et le temps, c'est …). Il en va de même pour les fabricants de cartes mères puisqu'ils ne savent pas quel matériel vous allez lui adapter.
Ainsi, tous les BIOS sont configurés d'une façon similaire, la moins risqué pour tous types de composant, et par conséquent, la moins adaptée à votre ordinateur.
Il en revient donc à l'utilisateur de modifier le setup de son BIOS pour tirer le meilleur parti de sa machine. Ainsi, les constructeurs et bidouilleurs affirment qu'on peut gagner jusqu'à 50% de performances effectives. On peut aussi en perdre. En effet, votre machine peut devenir ultra rapide et supra instable … Méfiance donc, il est conseille de modifier les paramètres petit à petit, tout en vérifiant la stabilité à chaque changement et surtout, en conservant une trace écrite ou imprimée des réglages d'origine, bien que la plupart du temps, les concepteurs de BIOS incluent une fonction de remise à zéro des paramètres de la ROM …
Les différents BIOS offrent à peu près les mêmes fonctions, leur présentation varie toutefois d'un constructeur de BIOS à l'autre (un même constructeur gardera généralement la même présentation). On retrouve généralement les rubriques suivantes :

STANDARD CMOS SETUP
ADVANCED CMOS SETUP
ADVANCED CHIPSET SETUP
POWER MANAGEMENT BIOS SETUP
PERIPHERAL SETUP
AUTO CONFIGURATION WITH BIOS DEFAULTS
AUTO CONFIGURATION WITH POWER ON DEFAULTS
CHANGE PASSWORD
HARD DISK UTILITY
WRITE TO CMOS AND EXIT
DO NOT WRITE TO CMOS AND EXIT
Bon euh, assez de présentations, passons au vif du sujet, boostons notre BIOS…

On commence !

Fonction Video ROM Bios Shadow
La ROM Bios contient des routines (lignes de programmes) spécialement dédiées à l'affichage graphique, cependant la ROM est lue octet par octet, ce qui rend l'accès au données très lent. La fonction que nous étudions ici permet de copier dès le démarrage le contenu de cette ROM (tps d'accès 170ns) dans la RAM (tps d'accès de l'ordre de 60 ou 10ns). Cette option est donc intéressante pour les applications graphiques utilisant cette ROM. Malheureusement, elle ne va servir à rien puisque les systèmes d'exploitation 'modernes' tel Windows 9x/Me/NT/2000, OS/2 … possèdent leur propres drivers de carte vidéo qui vont gérer le transfert de données vers la RAM lorsque c'est utile … Vous pouvez donc DESACTIVER cette fonction, ainsi que le shadowing de toutes les autres adresses (même principe, Windows à toujours un driver adapté au matériel)(euh façon de parler on est d'accord).

L'Anti-Virus (Virus Warning)
Le Bios met à votre disposition un petit anti-virus qui interdit toute écriture sur le secteur de boot de votre DD. Cette partie est très sensible, mais cette option doit être DESACTIVEE car elle peut être responsable de quelques plantages (ben si vous voulez formater par exemple …). De plus, si vous possédez un AntiVirus logiciel tel que Norton Antivirus, il gère souvent la protection du secteur de boot.
Recalibrage de lecteur disquette
A chaque démarrage, le Bios calibre votre lecteur de disquette, c'est à dire qu'il détermine s'il s'agit d'un type 40 ou 80 pistes. Il en résulte un affreux bruit super désagréable que il est chiant et qui fait peur au chien. Vous pouvez donc DESACTIVER cette option souvent nommé Boot Up Floppy Seek. En cadeau, vous gagnerez du temps au démarrage ;)

Mémoire Cache
Suivant la machine, il est très souvent utile d'activer les options CPU Internal cache et CPU External cache. Sa désactivation peut provoquer le blocage de votre ordinateur avant même que Windows soit arrivé sur le bureau !! Vous devez donc ACTIVER ses options.

Tests de démarrage
Certains BIOS, AMI en favori, effectuent une flopée de tests mémoires totalement inutiles, DESACTIVEZ donc les options de type Above 1 MB Memory Test, Memory Parity Check Error, Memory Test Tick Sound. Par contre il est vivement conseillé d'ACTIVER Quick Power On Self Test. On a déjà gagné un peu de temps ici.

Mode Bloc du disque dur
Le mode bloc permet au système de transférer plusieurs secteurs d'un seul coup. ACTIVEZ l'option IDE HDD Block Mode si votre disque le permet.

Vitesse d'accès à la mémoire
L'option DMA Clock définit la vitesse d'accès direct à la mémoire. Plus la valeur est haute, meilleurs sont les résultats. Il faut modifier cette valeur petit à petit en l'augmentant pour trouver le réglage optimal et garder la stabilité habituelle.

Performance de la mémoire
L'activation des paramètres DRAM Fast Leadoff, DRAM Posted Write Buffer est recommandée très fortement. De même réglez DRAM Read Burst à la valeur la plus basse supportée par votre PC.

Performance du PCI
ACTIVEZ les options CPU to PCI Posting, PCI Burst et PCI to CPU Posting. Elles permettent respectivement de créer un système de tampon mémoire pour contenir les données envoyées par le CPU vers le bus PCI, de transférer plus de données à la fois et de gérer un tampon PCI vers CPU.

Performance de l'AGP
L'option AGP Aperture Size permet de définir la quantité de mémoire attribuée aux textures lors de l'exécution d'un soft utilisant le port AGP. Plus celle ci est élevée, plus les accès mémoires seront rapides. AWARD recommande de configurer ce paramètre sur la moitié de votre RAM ou la totalité de votre RAM. Personnellement j'ai essayé les deux réglages et je ne vois pas de différence.

Séquence de Boot
L'option Boot Sequence permet de choisir l'ordre dans lequel le système va vérifier la présence de secteur d'amorçage. Je vous conseille de mettre en premier (1st Boot device) votre disque dur où est installé le système d'exploitation (HDD-0 en général) et de désactiver les autres Boot Device, ainsi le système démarrera directement et vous n'aurez pas à subir les ralentissements dus à la recherche d'un secteur d'amorçage sur CD ou disquette. La disquette d'ailleurs, parlons en, qui n'as jamais eu à faire au fameux 'Non System Disk or Disk Error…' parce qu'il avait oublié de retirer une disquette en éteignant son PC ? Voilà un fléau d'évité, comme ça on peut aller vaquer tranquillement à d'autres occupations pendant que le PC démarre ;) Par contre si vous comptez amorcer votre système avec une disquette de boot (Disquette de Démarrage Windows) ou avec un CD Bootable, n'oubliez pas de reconfigurer les options en conséquence…

Auto Détection des disques.
La détection de disques durs au démarrage est longue, voire carrément chiante si on en a plusieurs. Par conséquent il serait judicieux, si vous les connaissez, de rentrer dans Standard CMOS Setup le nombre de cylindres, pistes et secteurs par piste de votre disque. Sinon laissez cette option sur Auto…


On continue !

Les paramètres du BIOS concernant la mémoire.
Les paramètres concernant la mémoire sont généralement dans la section Chipset Features Setup du Bios. Ces paramètres sont :

LES CYCLES D'ATTENTE (WAITSTATES)
LES ACCES EN SALVE
LE RAFRAICHISSEMENT
Pour pouvoir modifier ces valeurs, il faut tout d'abord DESACTIVER l'option AUTO CONFIGURATION. Il s'agira par la suite d'aller modifier une par une les options puis à chaque essai noter la valeur précédente pour la modifier si vous voyez un problème apparaître après le changement effectué.

L'accès en salves
Il existe différents types de réglages pour la mémoire car il en existe une très grande variété ayant chacune des paramètres de réglages appropriés différents.
L'option DRAM R/W comprend deux valeurs : la première valeur correspond au nombre de cycles du processeur pour la lecture (R, Read), la seconde pour l'écriture (W, Write). Les valeurs sont en général et respectivement X444 et X333. Plus vous mettez des valeurs faibles, plus les accès à la mémoire seront rapides au risque d'une configuration instable. C'est pourquoi vous devez veiller à diminuer ces valeurs progressivement et en les testant à chaque fois.

Les cycles d'attente
Les options FP Mode DRAM Read WS et EDO Read Waitstate caractérisent la synchronisation de la RAM en lecture pour les barrettes DRAM et EDO. Cette option indique à la mémoire le nombre de cycles d'attente qu'elle doit effectuer par rapport au bus système car ce dernier est parfois trop rapide pour votre mémoire, ce qui génère de nombreux blocages ou disfonctions. Vous pouvez essayer de baisser le nombre de cycles d'attente pour accélérer le système. Par contre si vous avez des problèmes dus à votre augmentation la vitesse du bus système (overclocking ;), vous pouvez essayer de les baisser…

Le rafraîchissement
Il existe de très nombreuses options de rafraîchissement dans le BIOS mais pour les comprendre il serait nécessaire de connaître le fonctionnement d'une mémoire dynamique. Celle ci est composée d'une multitude de condensateurs qui perdent leur charge électrique au cours du temps. On pourrait ainsi dire que la mémoire perd la mémoire o_O Il faut donc recharger les condensateurs par de petites impulsions électriques, qui ont une durée de l'ordre d'1 milliseconde. Le temps dans un ordinateur est repéré en prenant pour base la fréquence d'horloge. La durée des intervalles sera donc indiquée en 'impulsion d'horloge'. 1 CLK correspond à 1 impulsion d'horloge tandis que 2T ou 3T correspondra au nombre de cycles processeurs (CPU). Ces valeurs doivent être les plus faible possible, tout en évitant de baisser de plus d'une unité par rapport à celle fixée par l'autoconfiguration.


J'en veux plus !

Ha bon, encore ? Ok. Pour aller encore plus loin dans les réglages du BIOS, on peux recourir à un petit programme qui, en plus des réglages classiques, donne accès à des fonctions cachées du BIOS. Ce petit bijoux se nomme TweakBIOS.

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Windows 2000 et XP :

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Créer des disquettes de démarrage de l'installation de Windows 2000
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Cet article technique concerne le(s) produit(s) suivant(s) :

Microsoft Windows 2000 Server
Microsoft Windows 2000 Professional

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Résumé
Les commandes winnt /OX et winnt32 /OX utilisées pour créer des disquettes de démarrage de l'installation avec Microsoft Windows NT 4.0 et versions antérieures ne fonctionnent pas avec Windows 2000.

Sous Windows 2000, la commande winnt32 /OX lance l'aide et vous donne plus d'informations concernant Winnt32.exe.

Plus d'informations
Pour créer un jeu de disquettes de démarrage de l'installation, exécutez Makeboot.exe dans le dossier Bootdisk du CD-ROM de Windows 2000 :

1. Insérez le CD-ROM Windows 2000 dans votre lecteur de CD-ROM.

2. Cliquez sur Démarrer , puis sur Exécuter .

3. Dans la zone Ouvrir , tapez le texte suivant : lecteur :\bootdisk\makeboot a: , puis appuyez sur ENTRÉE, où lecteur est la lettre représentant votre lecteur de CD-ROM.

REMARQUE : Vous n'avez pas besoin d'exécuter Windows pour créer des disquettes de démarrage de l'installation. Vous pouvez par exemple démarrer votre ordinateur à l'aide d'une disquette de démarrage Windows 98, puis exécuter le fichier Makeboot.exe depuis le CD-ROM Windows 2000.

 

Windows XP : Convertir un volume FAT16 ou FAT32 en NTFS
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Cet article technique concerne le(s) produit(s) suivant(s) :

Microsoft Windows XP Édition 64 bits
Microsoft Windows XP Édition familiale
Microsoft Windows XP Professionnel

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Résumé
Windows XP prend en charge trois systèmes de fichiers pour disques fixes : FAT16, FAT32 et NTFS. Il est recommandé d'utiliser le système de fichiers NTFS avec Windows XP, et ce en raison de ses performances accrues, de sa sécurité et de sa fiabilité. Cet article explique comment convertir un volume FAT16 ou FAT32 en NTFS

Veuillez noter les limitations suivantes :

UDF et CDFS sont uniquement utilisés avec des médias optiques et ne peuvent pas être convertis en NTFS.
FAT12 est le seul format utilisé sur les disquettes.
Certains programmes anciens qui n'ont pas été écrits pour Windows NT 4.0 ou Windows 2000 peuvent présenter de faibles performances après la conversion d'un système de fichiers FAT32 en NTFS. Ce comportement ne se produit pas sur une partition NTFS propre.
Vous pouvez utiliser la commande de conversion (Convert.exe) pour convertir un volume FAT ou FAT32 existant en NTFS. Étant donné que cette conversion conserve tous vos fichiers (contrairement à une opération de formatage), utilisez Convert.exe lorsque vous souhaitez préserver intacts les fichiers existants sur vos volumes.

Avant de convertir un lecteur ou une partition en NTFS, considérez les points suivants :

La conversion vers NTFS est un processus à sens unique. Après avoir converti un lecteur ou une partition en NTFS, vous ne pouvez pas le/la reconvertir en FAT ou FAT32. Pour restaurer le système de fichiers précédent sur le volume, vous devez reformater ce dernier en FAT ou FAT32. Cette action efface toutes les données existantes, y compris vos programmes et vos fichiers personnels. Dans ce cas, vous devez soit restaurer vos données à partir d'une sauvegarde, soit réinstaller votre système d'exploitation et vos programmes.
Convert.exe nécessite que vous disposiez d'une certaine quantité d'espace disque disponible sur le lecteur ou la partition pour la conversion. Si Convert.exe détermine qu'il n'y a pas assez d'espace disque disponible sur le volume, ce dernier ne sera pas converti.
Si vous exécutez d'autres systèmes d'exploitation Windows sur votre ordinateur en plus de Windows XP, notez les problèmes suivants :
Seuls Microsoft Windows 2000 et Windows XP disposent d'un accès total aux fichiers situés sur un volume NTFS.
Microsoft Windows NT 4.0 Service Pack 4 (SP4), ou version ultérieure, peut accéder aux fichiers situés sur un volume NTFS. Cependant, certaines limitations existent en ce qui concerne les fichiers qui sont stockés à l'aide de fonctionnalités de la dernière version de NTFS.
Microsoft Windows Millennium Edition, Windows 98 Deuxième Édition (et versions antérieures) et MS-DOS ne peuvent pas accéder aux fichiers situés sur un volume NTFS.

Conversion d'un volume FAT ou FAT32 en NTFS
REMARQUE : Bien que le risque que vos données soient endommagées ou perdues pendant le processus de conversion soit minime, il est toutefois recommandé de sauvegarder les données situées sur le volume que vous souhaitez convertir avant de démarrer la conversion.

Pour convertir un volume FAT ou FAT32 existant en NTFS, procédez comme suit :

Cliquez sur Démarrer , pointez sur Tous les programmes , sur Accessoires , puis cliquez sur Invite de commandes .
À l'invite de commandes, tapez la commande suivante, où lettre_lecteur correspond à la lettre du lecteur que vous souhaitez convertir :
convert lettre_lecteur : /fs:ntfs

Par exemple, tapez la commande suivante pour convertir le lecteur E en NTFS :

convert e : /fs:ntfs

Lorsque le message suivant apparaît dans la fenêtre de l'invite de commandes, tapez le nom de volume du lecteur que vous convertissez, puis appuyez sur ENTRÉE :
Le type du système de fichiers est FAT.
Entrez le nom de volume en cours pour le lecteur lettre_lecteur :

Lorsque la conversion vers NTFS est terminée, la ligne suivante s'affiche dans la fenêtre de l'invite de commandes :
La conversion est terminée.

Quittez l'invite de commandes.

Dépannage
Lorsque vous tentez de convertir un volume en NTFS, vous recevez le message d'erreur suivant dans la fenêtre de l'invite de commandes :
Convert ne peut pas obtenir l'accès exclusif au lecteur lettre_lecteur et il ne peut donc pas le convertir maintenant. Voudriez-vous le programmer pour qu'il soit converti lors du prochain redémarrage du système ? <(O/N)>

Ce problème se produit lorsque le volume que vous tentez de convertir est en cours d'utilisation (par exemple, si le lecteur que vous souhaitez convertir est le même lecteur que celui à partir duquel Windows XP est exécuté).

Pour résoudre ce problème tapez O à l'invite de commandes. Le volume ou le lecteur est converti en NTFS lors du prochain démarrage de l'ordinateur.

Lorsque vous tentez de convertir un volume en NTFS, vous recevez le message suivant dans la fenêtre de l'invite de commandes :
Convert n'a pas pu s'exécuter car le volume est utilisé par un autre processus. Convert pourra s'exécuter après que ce volume aura été démonté. TOUS LES DESCRIPTEURS OUVERTS SUR CE VOLUME NE SERONT PLUS VALIDES. Voulez-vous forcer le démontage de ce volume ? <(O/N)>

Ce problème se produit lorsque des fichiers sont actuellement utilisés sur le volume que vous tentez de convertir, y compris les fichiers auxquels les utilisateurs accèdent via le réseau.

Pour résoudre ce problème, utilisez l'une des méthodes suivantes :

Quittez tous les programmes qui utilisent les fichiers situés sur le lecteur, puis tapez o à l'invite de commandes pour convertir le lecteur en NTFS.

- ou -
À l'invite de commandes, tapez n .

Vous recevez le message suivant :
Convert ne peut pas obtenir l'accès exclusif au lecteur lettre_lecteur et il ne peut donc pas le convertir maintenant. Voudriez-vous le programmer pour qu'il soit converti lors du prochain redémarrage du système ? <(O/N)>

Tapez O à l'invite de commandes. Le volume ou le lecteur est converti en NTFS lors du prochain démarrage de l'ordinateur.


Espace disque nécessaire à la conversion de FAT en NTFS
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Cet article technique concerne le(s) produit(s) suivant(s) :

Microsoft Windows XP Édition familiale
Microsoft Windows XP Professionnel
Microsoft Windows NT Workstation 4.0
Microsoft Windows NT Server 4.0
Microsoft Windows 2000 Professionnel
Microsoft Windows 2000 Server
Microsoft Windows 2000 Advanced Server
Microsoft Windows 2000 Datacenter Server

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Résumé
La conversion d'une partition de disque du système de fichiers FAT en NTFS requiert une certaine quantité d'espace disque disponible afin de créer les structures de disque NTFS. Cet article décrit le processus utilisé par Convert.exe pour convertir FAT en NTFS et précise l'espace nécessaire à la conversion.

Plus d'informations
Les systèmes FAT et NTFS utilisent des structures sur disque très différentes pour représenter l'espace alloué aux fichiers. Ces structures sont souvent désignées sous le nom de métadonnées ou charge du système de fichiers.

Les métadonnées du système de fichiers FAT se composent d'un secteur de démarrage, d'une ou de plusieurs tables d'allocation des fichiers, d'une structure de répertoire racine de taille fixe et d'une quantité variable d'espace pour chaque sous-répertoire dont la taille dépend du nombre de fichiers qu'il contient.

Un autre type de charge associé à FAT et NTFS est lié au fait que les deux systèmes de fichiers allouent de l'espace disque aux clusters de taille fixe. La taille exacte de ces unités d'allocation ou clusters est déterminée au moment du formatage et les valeurs par défaut dépendent de la taille du volume. La taille par défaut d'un cluster pour NTFS est inférieure à celle pour FAT sur des volumes de taille similaire.

Comme l'espace des données de fichier peut seulement être alloué en termes de clusters entiers, même un fichier d'un octet occupe un espace disque équivalent à un cluster sur un volume FAT. Bien que similaire, la situation est légèrement plus complexe sur un système NTFS, mais elle ne sera pas approfondie dans cet article.

Comme FAT, NTFS dispose d'une certaine charge de taille fixe et par fichier. Pour prendre en charge les fonctionnalités avancées de NTFS (telles que la capacité de récupération, la sécurité, la gestion de très grands volumes, etc.) la charge des métadonnées NTFS est un peu plus importante que celle des métadonnées FAT. D'un autre côté, la charge des clusters NTFS étant inférieure à celle des clusters FAT, il est souvent possible de stocker autant, sinon plus, de données sur un volume NTFS que sur un volume FAT, même sans utiliser la compression de fichiers NTFS.

En vue de se protéger contre le risque d'endommagement causé par une défaillance lors de la conversion, Convert.exe doit créer les métadonnées NTFS en occupant uniquement l'espace que le système de fichiers FAT considère comme disponible. Ainsi, si la conversion échoue, la représentation FAT des fichiers utilisateur reste valide. L'obligation pour un secteur de données NTFS d'occuper un emplacement spécifique du disque et pour les autres structures d'occuper, en nombre très limité, les secteurs contigus vient compliquer cette stratégie.

Les grandes étapes du processus de conversion sont présentées ci-dessous :

Créez des trous (c'est-à-dire réallouez des clusters FAT) pour la structure NTFS à emplacement fixe et les autres données contiguës (le cas échéant), puis enregistrez le nouveau volume FAT. Par exemple, si les secteurs requis ne peuvent être libérés parce qu'ils ne sont pas lisibles, le processus de conversion échoue et le volume FAT reste dans l'état dans lequel il se trouvait avant la tentative de conversion.
Créez des structures de données élémentaires NTFS dans l'espace libre FAT. Il s'agit des tables et des structures de taille fixe communes à tous les volumes NTFS. La taille de ces tables peut varier en fonction de la taille du volume, mais elle ne dépend pas du nombre de fichiers contenus dans celui-ci.
Créez la table de fichiers maître et les listes de répertoires NTFS dans l'espace disponible FAT. L'espace nécessaire à cette étape varie et dépend du nombre total de fichiers contenus sur le volume FAT.
Dans la bitmap NTFS, marquez comme libres les clusters NTFS utilisés par les structures FAT. Lorsque la conversion est terminée, la charge des métadonnées FAT peut être réaffectée à NTFS en tant qu'espace libre.
Écrivez le secteur de démarrage NTFS. Il s'agit de la dernière étape qui permet au volume d'être reconnu comme NTFS au lieu de FAT. Si la conversion échoue au cours d'une des étapes précédant celle-ci, le volume reste un volume FAT valide et il est reconnu en tant que tel.
Comme une panne peut intervenir à tout moment, le processus décrit plus haut minimise les risques d'endommagement du disque.

REMARQUE : Les écritures s'effectuant presque toutes dans l'espace libre FAT, le système FAT est donc préservé en cas de panne.

Les seuls cas où des données sont écrites dans l'espace occupé (par exemple, l'enregistrement des heures auxquelles une défaillance peut entraîner des problèmes) sont :

À la fin de la première étape, lorsque la commande CONVERT remplace le FAT. L'algorithme permettant de réallouer des clusters assure que, si une défaillance se produit au cours de cette étape, CHKDSK pourra réparer le disque sans perte de données.
À l'étape 5, lors de l'écriture du secteur de démarrage. Si une défaillance se produit au cours de cette étape et que le volume converti est la partition système (la partition principale active utilisée pour démarrer le système), le système risque d'être laissé dans un état lui interdisant de démarrer. Dans l'hypothèse improbable que cette situation se produise, le système devrait encore pouvoir être démarré à l'aide d'une disquette de démarrage.
Convert.exe effectue un calcul fondé sur le nombre de fichiers préexistants sur le volume FAT et la taille du volume FAT pour déterminer la quantité d'espace libre nécessaire avant de lancer le processus de conversion. Pour un matériel standard (des disques durs contenant 512 octets par secteur), le calcul est le suivant :

Commencez par noter la taille du volume, en octets et divisez-la par 100. Si la valeur que vous obtenez est inférieure à 1 048 576, utilisez 1 048 576. Si elle est supérieure à 4 194 304, utilisez 4 194 304.
Ajoutez à la valeur précédente la taille du volume en octets divisée par 803.
Ajoutez à la valeur précédente le nombre de fichiers et de répertoires présents sur le volume multiplié par 1 280.
Ajoutez 196 096 à la valeur précédente.
Outre le calcul présenté ci-dessus, si le volume FAT contient des informations d'attributs étendus, Convert.exe tient compte de l'espace supplémentaire requis. Normalement, le système ne doit pas contenir d'informations d'attributs étendus. Ce cas est seulement à prendre en compte si le système a exécuté OS/2 à l'aide d'attributs étendus.

Le calcul ci-dessus reflète fidèlement celui effectué par Convert.exe. Les résultats exacts obtenus peuvent différer légèrement selon le système considéré.

REMARQUE : Il s'agit de l'espace libre requis par Convert.exe avant la tentative de conversion. Le calcul prévoit de l'espace supplémentaire au cas où l'espace disponible FAT contiendrait des secteurs endommagés. Toutefois, si un volume dispose d'un espace libre juste suffisant pour réaliser la conversion et qu'une fraction significative de l'espace du lecteur s'avère inutilisable, le processus de conversion risque d'échouer. Comme il a été indiqué précédemment, cette défaillance ne devrait pas entraîner un endommagement du disque. Le volume retrouve automatiquement son état d'origine et il est reconnu en tant que volume FAT.

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